Dans le début des année 83 on découvre le virus du sida, qui dit virus implique la vaccination.
À l’époque elle était quasiment une spécificité des hommes, donc en 86 Dr Gernez attirait l’attention de cette erreur d’orientation : la sida maladie digestive ? Alors que tout le monde sait que le sida est une maladie sexuellement transmissible !
Pas du tout !
Le virus est indifférent à ce que peut ressentir le porteur de cellule qu’il va infester, cela lui est égale qu’il soit de tel ou tel moeurs, tel ou tel sexe. Pour lui il a un unique problème : celui de s’introduire dans l’organisme pour parasiter les cellules cibles, ici les lymphocytes, y proliférer et assurer sa pérennité.
La Défense contre les virus passent par 3 barrières :
- le premier : obstacle mécanique, les vêtements, la peau, ou la muqueuse
- Le second; il doit parasiter une population cellulaire qui n’a pas déjà été confronté à une infection virale. Car si elle l’a déjà été elle secrète un produit qui est l’interféron qui lui donne une défense immédiate
- Le troisième: les anticorps spécifique du virus qui l’agresse au bout d’une dizaine de jours lorsque’il essaie de se disséminer.
OR le rectum n’a aucune des ces 3 barrières ! Il a une muqueuse perméable : principe du suppositoire : des grosse molécules peuvent passer cette barrière.
Second obstacle: doit passer la barrière interférentielle, or le rectum n’a aucun interféron car sa population cellulaire n’a jamais été exposé a une infestation virale, la rectite virale n’existe pas en pathologie !!
La troisième barrière, les anticorps spécifiques, déjà elle n’est pas immédiate, de plus une particularité du rectum anatomique surprenante est que les hormones lymphoïdes sont plaquées directement en apposition avec la muqueuse rectale, or les lymphocytes qu’il s’y trouvent ont l’habitudes de pénétrer dans le sens inverse de la muqueuse pour aller dans le rectum, l’ampoule rectale, puis sont réabsorbés par la muqueuse qui est perméable, perméables ainsi dans les 2 sens.
Le rectum n’a donc aucune des ces 3 barrières ! Chose qui est tout a fait différent chez la femme car a une barrière mécanique fibreuse et solide dans le vagin, son système génital est régulièrement soumis à des infection virale ( chez les petites filles avec les leucorrhées par exemple).
Les statistiques montrant que les femmes étant peu contaminées n’ont pas tenu compte des moeurs. A l’époque les femmes pratiquaient peu la sodomie, tandisque ce genre de pratique se fait d’avantage contemporainement. À l’inverse lors d’un rapport classique les risques de contamination étaient bien moindre !
Étude montrant que les prostituées de l’époque ne pratiquant que la pénétration vaginale était finalement que peu contaminées par le virus du SIDA.
Pandémie virale dans l’afrique sub-saharienne, on oublie de dire quel laxisme sexuel de certaine région fait que la sodomie est fréquent et est associé à un objectif presque traditionnel. Ici c’est le rectum qui compte et non le sexe de la personne, femme ou homme peu importe !
Un vaccin ?
Le virus du sida est 4x plus variable que le virus de la grippe de sorte que même s’il y a fait une solution vaccinale il faudrait en changer tous les trimestre 4x/ an ! De plus chez un même individu infesté par un même virus de manière endogène, il est capable de faire des mutations aussi à l’intérieur même de cette personne ! Donc même un vaccin adéquat à un moment donné peut ne plus l’être par la suite !
Cette information fut mise sous silence en France, les journaux l’ont retiré. Cependant à l’étranger le monde médical ont publié l’information.

La recherche d’un vaccin en France est toujours d’actualité même si elle mène et mènera toujours à une impasse.
« Le laboratoire Merck (états-unis) annonce l’échec d’un vaccin contre le sida » – « le monde- 22 septembre 2007 »
Le préservatif fut le remplaçant du sida ! Il était utilisé en accord à protéger la transmission des virus lors de la sodomie.
Cependant cette réflexion est dangereuse car : la manipulation d’un tel instrument en des conditions qui ne sont pas d’asepsie non seulement il y a le liquide spermatique contenant les virus, mais on travaille dans le périnée qui est le carrefour des urines, matières fécales,… de plus l’humidité est la plus élevée des milieux de l’organisme, et la température est la plus constante, … bref, là ou les conditions de développement d’un virus sont les plus favorables !
Biologiquement on encourt les mêmes risques que si un chirurgien ne se lavait pas les mains après être allé aux toilettes avant de nous ouvrir le ventre.
La préconisation la plus sûre risque l’abstention au risque de se faire contaminer par d’autres éléments encore.
Mécanisme du virus :
C’est un parasite cellulaire obligatoire, il passe donc par les cellules ! même s’il y a des localisations préférentielles, toutes les cellules de l’organisme sont contaminables, que ça passe dans la sueur ou la salive cela ne fait aucun doute, mais on se contamine moins par la salive que par l’anus parce que la salive on l’avale puis passe par tous le tube digestif, avec l’acide chlorhydrique de l’estomac, les enzymes digestives, .. .et par conséquent le virus est bien mal en point lorsqu’il arrive à l’endroit ou il peut être absorbé ! Au contraire d’une infection directe par les muqueuse anales qui n’ont aucune défense.
C’est une illusion de penser que le préservatif nous protège à 100%.
Au niveau de la peau, on a des couches protectrices, il faut qu’il y ait des lésions pour qu’il passe. De même qu’au niveau de la bouche, il lui faudrait des lésions dentaires par exemple pour contaminer la personne.

