André GERNEZ, sur les maladies dégénératives ( athéromatose, Sclérose en plaque, Parkinson, Schizophrénie,…)

Les informations qui suivent sont tirées du documentaire sur André Gernez.

Rapport introductif du 18eme congrès internationale  pour l’unité des Sciences tenu à Séoul : 

« La pathologie dégénérative ayant pour expression diverse tel que le cancer qui ne ressemble pas à l’arthérioscérose, ni à la sclérose en plaque, qui elle même ne ressemble pas à la schizophrénie ni à la maladie d’alzheimer, et pourtant ! Ces maladies si dissemblables ont un dénominateur commun, elles ne peuvent apparaître ou proliférer qu’en présence ou sous l’influence d’une hormone sécrétée par une glande du crâne, cette hormone est l’hormone de croissance. 

Cette hormone sert comme sont nom l’indique, à ce que la croissance de l’individu s’effectue dans des conditions normales. Seulement dès que la croissance est achevée, à l’âge adulte, elle n’a plus d’utilité mais continue néanmoins d’être sécrété pendant des années, comme l’hormone ovarienne continue d’être sécrétée après la ménopause.

Il y a une corrélation positive entre la production de l’hormone de croissance et les pathologies dégénératives. L’analyse de cette corrélation abouti à proposer au contraire du mouvement actuel, le tarissement de l’hormone de croissance chez l’adulte à des fins de prévention et de traitement précoce de cette pathologie dégénérative. 

Plusieurs faits biologiques sont au fait de ces recommandations; arrivé à l’âge adulte l’hormone de croissance devient inutile. Son extinction naturel qu’il soit lié à l’âge, ou artificiel : chirurgical ou  radiothérapique ne s’accompagne d’aucun effet pathologique ou physiologique immédiat ou retardé. (…) »

Le rôle fondamental de l’hormone de croissance dans toutes les pathologiques dégénératives : 

Cette hormone de croissance est indispensable pour que l’organogenèse se fasse jusque’à l’âge adulte, a partir duquel elle devient inutile. À partir de l’âge de 17ans, l’organogenèse s’est achevée, mis a part quelque reliquat qui va subsister jusqu’au 40ans mais le « gros est fait ». De sorte que la maladie devenant itérative au moment où il y a des poussées de l’organogenèse, ces poussées sont liés aux poussées sécrétoires de l’hormone de croissance. 

Dr Pierre Delahousse : « Dès qu’est évoqué le diagnostic de sclérose en plaque il est important qu’on leur supprime la sécrétion de l’hormone de croissance, cela n’aura aucune incidence physique, taille, intelligence, … car il l’a été démontré ! Elle permettrait de supprimer ces poussées de divisions neuronales qui entraine la sclérose en plaque. Cette inhibition de l’hormone de croissance est applicable pour de nombreuses   maladie dégénératives : y compris en matière de schizophrénie, cancer, athérosclérose, … » 

Lorsque ce mécanisme fut présenté, il fut directement adapté car a permis de comprendre ce qu’il se passe dans beaucoup de mécanisme pathologiques.

Par exemple lorsqu’une femme est enceinte, il n’y a pas de poussée évolutive, pourquoi ? 

L’hormone de croissance est capté par le foetus qui lui est en pleine division cellulaire de sorte que l’hypophyse de la mère est même insuffisante pour permettre à ces cellules de se développer normalement, à telle enseigne que le placenta sécrète lui même une hormone = somathormone « like » pour pallier une insuffisance éventuelle. Donc pendant la grossesse il y a un arrêt évolutif d’une manière constante. Par contre lorsque le foetus est expulsé, tous les tissus maternels qui sont imbibés d’hormone de croissance deviennent libres et à ce moment là ils stimulent les cellules maternelles, c’est pourquoi après l’accouchement on a souvent une poussée évolutive.

On a compris aussi que dans la pathologique traumatisme,… qui entraine un accroissement de l’hormone de croissance il y a aussi conjointement des poussées évolutives. Tous les paramètres se sont exprimés de façon claire. 

À l’époque l’état a eu un réaction naturelle, étant de dire qu’il vont consulter les dossiers des gens ayant eu une inhibition de cette hormone de croissance pour x raison ( hypophysiolyse ). Le contrôle a été fait et a été publié dans le journal officiel du Sénat le 21 Mai 1981, ou en effet la corrélation de la  SEC et la disparition de la somathormone est parfaitement établis.

Malheureusement ils n’ont jamais pu aboutir car freiné par une dictature politique. 

La maladie d’Alzheimer. 

Apparait en général entre 50 et 70 ans, mais on y confond aussi la démence sénile qui arrive beaucoup plus tard ! 

On attribue la maladie d’Alzheimer à l’existence de 2 protéines : Amyloïde et Tau. Ces protéines sont présumées étouffant les neurones, leur supprimer leur vitalité (ne serait-ce que leur oxygénation) et entrainer ainsi leur mort. 

Dans ce schéma actuel de compréhension ils confondent la cause et l’effet !! 

Ces deux protéines sont en réalité simplement présentes en tant que témoin pour boucher des pertes cellulaires qui ne sont pas du tout de leur ressort ! 

L’effet d’une ulcération cellulaire et bien de combler le manque, c’est le « trou » qui entraine la cicatrisation et non l’inverse. 

Le cheminement habituellement adopté est tellement généralisé que l’on ne voit pas comment on pourra faire concéder le monde médical à revoir cette erreur grotesque. 

EN REALITE ce qui arrive : 

La densité neuronale des sites cérébraux régresse au fur et à mesure de l’usure métabolique ou des accidents pathologiques, le plus souvent chimique comme on le voit chez l’abeille qui développe Alzheimer également a cause des pesticides que les agriculteurs pulvérisent de partout. Or chez l’homme étant donné la discontinuité temporelle la pathologie arrive des années après la destruction cellulaire contrairement à l’abeille qui vit très peu. Lorsque cette destruction cellulaire a lieu il y a simplement un processus de cicatrisation qui se met en place.

Revue du praticien du 18 décembre 1995 : 

« Les lésions typiques de la maladie d’Alzheimer peuvent être observée en densité plus faible dans le cerveau de sujet âgées non déments. » ce qui fait que ce n’est pas du tout spécifique à la maladie !! 

«  Information n 113: on a pu identifier 2 protéines pathologiques qui sont responsables de la destruction des neurones, ce sont la protéines amyloïde et la protéine Tau. Elles sont présentent est très grande quantité dans le cerveau des sujets malades et en très faible quantité dans le cerveau des sujets saints. » 

Chez n’importe quelle personne centenaire on trouvera donc ces protéines, ce n’est pas un critère ! Moins que chez l’alzheimerien, mais celui ci aura commencé plus tôt à détruire ces cellules, c’est proportionnel car forcément les cicatrices s’accumulent ! 

Dans le cas de la démence sénile qui apparaît beaucoup plus tardivement les lésions sont identique mais il n’y a pas la perte de cette mémoire sémantique : repères, mais plutôt celle des faits récents, oublie ou son ses lunettes, son porte monnaie,… 

La maladie d’alzheimer ne se détecte pas facilement car au début de la maladie il n’y a pas de signe clinique, le reliquat neuroblastique persistant permet due compenser ces signes cliniques. Quant ils apparaissent il est déjà très tard. 

La maladie d’Alzheimer est donc la perte de cellules génératrices n’arrivant plus a combler les vides cellulaires lié aux : virus, produits chimiques,… à partir de ce moment on n’arrive plus à remplacer les cellules mortes car ce sont des cellules structurant les sites neuronaux. On ne peut pas injecter de cellules souches dans des sites qui ne sont plus organisés, cela ne servira à rien car il n’y a plus le module pour les organiser d’une manière cohérente et en corrélation avec le reste du système nerveux. 

Il faut commencer par admettre que ces 3 protéine d’incriminée ne sont que les témoins d’une disparition de cellules. 

Pour corriger une disparition de cellule il faut qu’il en reste ! On ne peut pas en réinjecter. Il faut donc agir au moment ou la maladie existe mais quand elle est cliniquement indécelable… car à ce moment il reste suffisamment de cellules plastiques (génératrice) pour combler les vides, mais lorsque ces cellules disparaissent, on ne peut plus rien faire. 

Il faut intervenir 15 ans avant ! Les systèmes d’imaginer permettent de la déceler car ce sont les structures les plus archaïques qui sont touchés : l’hypocampe : le premier à se différencier et donc le premier à épuiser ses réserves contrairement aux structures du cortex qui finissent leur maturation vers 20ans. C’est la particularité de cette maladie: c’est la partie archaïque qui est concernée ! Et la mémoire fondamentale archaïque aussi donc ! 

L’imagerie médicale est une première approche mais pas la seule ! Le Dr Neil cashman de Vancouver a mis au point en 2006 un test d’analyse sanguine : EPT ( epitope portection technology). Ce test permet de déceler Alzheimer en détectant l’accumulation anormale de ces protéines. Diagnostique précoce possible ! À ce moment il restera alors un reliquat qu’il faudra protéger et donc diminuer la cinétique divisionnelle pour la prolonger le plus longtemps possible. 

La Somatostatine freine la production de la somathormone ( hormone de croissance), celle qui stimule la division de toutes la population cellulaire. Or l’absence de somatostatine est corrélé avec la maladie d’alzheimer , le frein étant levé favorise l’avancée de la pathologie. 

La seule solution est donc naturellement de supprimer chez l’adulte la sécrétion de l’hormone de croissance.

Athéromatose :

C’est un dépôt de substance inerte finissant par boucher l’artère. En fait c’est faux ,ceci est un phénomène secondaire. Le phénomène primaire est une dégénérescence des fibres musculaire lisses de la « Média » : couche musculaire des vaisseaux pouvant se faire se contracter/ dilater. 

Ce serait davantage une cancérisation des cellules musculaire lisses de la partie moyenne ! 

La sclérose en plaque : 

Était considérée comme une agression auto-immune des cellules formant la myéline qui est une substance graisseuse enrobant les nerfs. C’est une gaine présentant des rétrécissements, et plus la myéline est épaisse et plus l’information est rapide. 

La SenP est une démyélinisation non pas générale mais focale, à certains endroit. 

Or en allant au delà du dogme précédent on réussi enfin à la solution : l’organogenèse neuronale se poursuivant après la naissance, des neuroblastes vont donner un filament : axone, qui sera enrobé, mais l’infestation virale ne s’exprime que quand les cellules myélocitaire elles mêmes ne se divisent ! À ce moment l’expression pathologique arrive.

A chaque fois qu’un neurone arrive à maturation dont le filament entraîne l’organisation de la gaine de myéline, elle même entraine l’expression du virus dont elle est parasitée.

Lorsque cette maladie arrive chez l’enfant, elle tue rapidement.

Lorsqu’elle arrive chez l’adolescent, elle tue en quelques mois.

Mais lorsqu’elle arrive chez l’adulte > 15 ans l’organogénèse des neurones devient discontinue, alors la maladie elle même devient discontinue ! On obtient la sclérose en plaque des poussées évolutives suivies de périodes de repos et même une régression des symptômes avant la poussée suivante.

—> La maladie est sous dépendance de la cinétique cellulaire de la population neuronale qui est une population encore capable de division cellulaire.

On comprend pourquoi la maladie arrive à la fin de l’adolescence car avant elle porte un autre nom.

Pourquoi on ne peut plus généralement avoir de SEP après 35-40 ans ? 

Car la cinétique cellulaire est achevée, il n’y a plus de morbidité nouvelle.

On a le même âge moyen pour la schizophrénie, avant 17 ans on ne l’a pas , pas de rupture avec le réel, et après 40ans on ne peut plus l’avoir ! Même processus que la SEP alors que « apparemment » ça n’a aucun rapport.

SCHIZOPHRENIE: 

 La théorie structurale initiale supplantait la théorie chimique qui elle même n’aboutissait à absolument rien mis à part mettre une camisole chimique. 

La théorie structurale proposée par le Dr Gernez est officialisée par le Pr Tasse collège de France 1985 ainsi qu’au XIVeme congrès européen de neuropsychiatrie en septembre 2003 à Prague.

Schizophrénie et cannabis: 

La cellule nerveuse au moment où elle devient fonctionnelle émet un long filament qui transmet les signaux, et ce filament s’entoure d’une gaine = gaine de myéline. La vitesse de l’influx est dépendant de la gaine de myéline, le réseau primaire indispensable à la survie et à l’organisation des fonctions, progresse avec la myélinisation.

 Le réseau primaire, indispensable, est plus large que le réseau terminal puisqu’il est activé par les nécessité de la vie, durant des années, il est donc très myélinisé, tannique que les parties terminales, les « queues » d’organogénèse ont une myélinisation faible, or elle envoie des signaux qui n’ont pas été modelé par la réalité, ce sont des signaux indépendant (crise de l’adolescence), crise de libération ou ces signaux n’ont pas été conformé à la réalité. 

SI on active avec le cannabis, on précipite cette domination du réseau terminal encore neutre sur le réseau primaire et plus cette activation se produit plus les gaines de myéline augmentent et plus la vitesse de l’information devient parasitaire : c’est ce que fait le cannabis car stimule anormalement à une période de transition le réseau secondaire accessoire et cette intervention devient majoritaire et plus elle est excité, accrue, par le cannabis, et plus la priorité d’accès de ces signaux au lobes frontaux augmente de sorte que la dissociation avec la réalité s’accentue. 

Rupture avec la réalité commune ! 

Le risque de développer la schizophrénie est de 6x supérieur à la morbidité habituelle.

La solution thérapeutique à la schizophrénie est une nouvelle fois le tarissement de l’hormone de croissance.

PARKINSON : 

On a une sécrétion de dopamine par un petit ilot qui s’appelle le Locus Niger. Cette dopamine est reçue par une structure anatomique : le Striatum qui inhibe la sécrétion du locus niger : c’est une boucle de régulation qui se produit. 

Si le locus niger ne produit pas assez de dopamine alors on dérègle le circuit, alors en réaction on ré-injecte de la dopamine : pendant 5-6 ans on a un résultat parfaitement équilibré, mais au bout de 6 ans ça ne fonctionne plus, pourquoi ? 

Au bout de 6 ans, la nécessité en dopamine variant beaucoup en fonction du quotidien (heure de la journée, émotion, alimentation,…) or on ne détient qu’une certaine dose supplémentaire efficace, cet ajout artificiel pour combler le manque de dopamine va inhiber petit à petit le produit endogène : la dopamine naturelle. 

Le traitement marche ainsi très bien pendant 6ans jusque’à ce qu’il n‘y ait plus de sécrétion naturelle de dopamine, à ce moment on arrivera avec 2 maladies : 

Le Parkinson + la maladie dopaminique, c’est une anarchie complète. Ce qui est important ce n’est pas l’accroissement dopaminique mais de maintenir l’équilibre de la boucle, qu’il n’y ait pas un différentiel trop marqué ! Par exemple un vieillard de 100ans n’est pas forcément parkinsonien ! Pourtant il a un niveau de sécrétion extrêmement bas ! Mais son striatum a baissé aussi, donc est équilibré.

Les Cellules, un nombre limité de division:

On peut dire grosso-modo, qu’à partir de la naissance des 70 divisions auquel notre population cellulaire ont le droit, 50 ont déjà été utilisé pour arriver à l’état néo-natal. Nous en auront 20 pour finir nos jours. 

Lorsque l’on est adulte on a des populations cellulaire constituant nos organes achevés et la fraction des cellules divisionnelles qui existent sont là pour compenser les départissions cellulaire qui arrivent avec le temps, usure, médication, produit chimique, virus, … détruisant certaines cellules fonctionnelles. 

C’est comme si l’on a un compte en banque dont on dispose au quotidien. 

Dans un mode de vie normal la régénération cellulaire nous permet d’atteindre une longévité normale, au maximum 120 ans avec une sénescence moyenne de 80-90ans, au bout de ce moment là les réactions qui maintiennent la vie ne se font plus. 

Pas possible de tricher comme certains l’ont fait en voulant rester « jeune » en prenant de la DHEA qui est un pseudo facteur de croissance : elle va stimuler l’hypophyse qui elle va faire ses divisions, on a une embellie tissulaire au niveau de la peau, activité sexuelle,… mais ça ne dure pas et après on a épuisé nos réserves de divisons cellulaires et on paie l’addition d’avoir triché avec la nature: cancer ++ 

La solution globale portant sur la totalité des manifestation dégénératives, consiste à contrôler l’hormone de croissance: la Somathormone qui est secrète par l’hypophyse.

L’hypophyse a 7 hormones dont l’hormone de croissance = somathormone (STA) : va stimuler les divisions cellulaire surtout au niveau des cellules quiescente, blastique : embryonnaire.

Seulement si cette hormone de croissance est suractive c’est là que les problème vont commencer car il va y avoir un apport des cellules multiplicatrices que ce soit au niveau des cancer, alzeimer, Parkinson,… il faut contrôler son expression ! 

C’est le dénominateur commun dont les expressions sont diverses! 

C’est pour cela qu’il est bon de faire cette intervention sur l’hypophyse afin de ménager ces neuroblastes qui viendront servir au moment où ces pathologies dégénératives s’expriment. Cela permettre de limiter les dégâts et de venir remplacer les cellules usées. 

Il suffit de contrôler l’hypophyse pour enrailler les pathologies en aval.  Neutraliser la somathormone .

La solution est simple : dans le temps ils passaient par le nez pour insérer a proximité de la selle turcique un fragment d’or radioactif dont la demie vie est très courte, de l’ordre de 72heures. Cela suspendait la production de l’hormone de croissance. 

Par la suite nous avons élaboré le « Gamme Unit » qui est un rayonnement ionisant sous forme d’approche très axée inhibant la somathormone. 

« Si l’on se borne à tarir sélectivement la stimuline de croissance, à l’exclusion des autres, par une brève irradiation, cette inhibition n’est suivie d’aucun effet secondaire, ni physiologique, ni pathologique, ni immédiat, ni retardé. »

On le préconise aussi bien pour la maladie d’alzeimer, parkinson en neutralisant le striatum faisant partie de la boucle nigro striée, on restaure l’homéostasie au niveau du patrimoine tissulaire, on supprime tous les phénomène d’hypertonie musculaire de Parkinson. 

Seulement cette machine est unique et trop surveillée pour la rendre accessible au publique…

Myopathie de Duchenne

Maladie affectant les jeunes enfants garçon mais qui est transmise par la mère qui elle n’est pas malade. Son fils est myopathe mais la soeur de ce garçon ne l’est pas. 

Au début des recherches on est passé à côté de pourquoi le fils et non la fille car ils ont ignoré que l’enfant né garçon fait une poussée d’hormone mâle phénoménale qui dure 5 semaines dont le taux est équivalent à la puberté et quasiment celui de l’état adulte.

Ce qui fait que les hormones sexuelles sont anabolisantes chez l’adulte mais au moment où se créer la maturation des muscles elles fixent cette maturation. CE qui est anabolisant chez l’adulte est constructif, fixateur, au moment de l’organogenèse du muscle ! Comme les filles n’ont pas ces hormones mâles elles n’ont pas cette fixation enzymatique anormale de la CPK : créatine phosphokinase. Tandisque que le petit  ayant cette tare comme la soeur et la mère qui est cette perte de la créatine phosphokinase ainsi il fixe un statut d’inorganogénèse de retard qui sera irréversible si l’on n’y fait rien : donc il faut intervenir après la naissance si on trouve le petit dont le CPK qui filtre, qui n’est pas fixé par les muscles ( on le voit à la naissance par une analysa classique). Dans ce cas on arase, on coupe cette courbe de gauss de cette sécrétion d’hormone endrogénique et se faisant on le met au même statue que sa soeur, au bout de 5 semaines c’est finit et il continuera sa maturation musculaire classique.

Anecdote: l’application d’un simple gel progestéronique de façon cutané qui bloque l’androgène, l’hormone mâle, ceci durant 6 semaines a sauvé la vie de l’enfant. 

La tolérance immunitaire, Asthme et Allergie ; 

Au premier jour ou l’enfant nait, il a un système immunitaire involutionnaire pas encore acquis, et va rentrer en contact avec ses propres protéines, son propre corps et environnement est une période brève mais maximale au moment de notre naissance. 

Il va être en contact avec les protéines étrangères :des allergènes, c’est à dire des pollens, poussières, des poils, des saletés, … qui vont entrainer des réactions immunitaires de rejets : il ne les tolères pas car il ne les connais pas ! Au bout d’une certaine période après la période de tolérance immunitaire à ces protéines, il les refoulera aura une réaction de rejet. 

Si on nait en mars-Avril : au moment ou il y a le moins de pollen on aura 5-6 fois + de chance d’être allergique que si on nait au mois ou il y en a le plus : mois d’Aout.

Le congrès de Berlin en juillet 2003, a abouti à la conclusion de la théorie hygiénique: l’excès d’hygiène au stade néo natal est inducteur d’allergie. 

Un moyen simple et archaïque est simplement de souffler sur le berceau du petit un pincée de poussière ( aspirateur) avec des pollens que l’on peut trouver dans le commerce ! L’enfant reconnaitra ces substances qu’il tolérera le restant de ses jours ! 

On n’en parle pas car n’a aucun intérêt économique.